Analyse rédigée par Anissa D’Ortenzio
Derrière le burn-out militant se cachent des réalités militantes silenciées et silencieuses. Le burn-out militant dégrade la santé des militant·e∙s et les fait parfois quitter le secteur non marchand. Ce mal-être, aux causes et intensités multiples, est un cri d’alarme sur le coût physique et psychique de l’engagement (souvent au féminin) ! Comment expliquer cette situation ? Au-delà du caractère individuel du burn-out, quels sont les effets collectifs, organisationnels ou structurels qui impactent négativement le militantisme belge ? Comment se soutenir collectivement dans ces conditions ? Enquête en eaux troubles.