Le racisme est alors jugé comme secondaire dans les luttes féministes, et le sexisme jugé secondaire dans les luttes antiracistes. À priori concernée par ces deux luttes, une femme noire ne vit pourtant pas le racisme comme un homme noir, ni le sexisme comme une femme blanche. Ces deux discriminations sont teintées par la position particulière qu’elle occupe dans le monde social, et ne peuvent être envisagées séparément.
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