Paroles déplacées, gestes maladroits ou brutaux, épisiotomies abusives et « points du mari », touchers vaginaux et rectaux sur des patient-e-s inconscient-e-s, lesbo-/bi-/transphobie des professionnel-le-s – la liste des maltraitances gynécologiques ou obstétricales s’allonge au fur et à mesure que la parole se libère. Pourtant des pratiques respectueuses de la santé, du bien-être et du libre-arbitre des patient-e-s existent.
Dans le cadre de la Semaine des Droits des Femmes de la Ville de Bruxelles, des praticien-ne-s du secteur ont parlé de leurs pratiques, discuté et entamé une réflexion commune sur des pistes d’amélioration. Lors de ces tables rondes, nous avons profité d’un espace d’échange et de dialogue avec des professionnel-le-s soucieuses/eux du bien-être des patient-e-s.